Procès de Phoenyx92.

Naud pénétra dans la pièce, salua une fois de plus l'archevêque, mais non moins amie, elle lui sourit, elle espérait sa clémence. Elle plia genou comme la première fois, salua l'Inquisiteur, elle avait pas trop compris à quoi il servait.

Votre Eminence, je me porterais défense de cet homme, il a servi sous mes ordres quand je fus encore prévôt.

Elle les fixa tous les deux, en espérant qu'ils accepteraient.

Naud sourit à son ami, puis se dirigea vers Verty.

Votre Eminence, je demande le retrait cet homme ventripotent de tous les procès intentés contre les soldats et non moins mes amis.

Elle marcha de long en large.

Il parait qu'un représentant de l'EA est neutre, je l'ai dit à mes soldats, les ont retenus mais cette nuit, cet homme a porté le combat contre moi. Est ce la l'image que vous voulez donner ? Je l'ai gravement blessé ayant l'expérience des armes. Est la neutralité d'un homme d'église ?!

Naud fixa le diacre sacristain, un regard de défi dans les yeux.

Monseigneur verty, je me permet d'intervenir a propos de Damoiselle Naudeas.

Je Souhaiterez vous soumettre la demande qu'elle soit frappé d'interdit provisoire au même titre que les autres.

Pourquoi ?

Car elle m'a attaqué devant la Cathedrale , j'en veut pour preuves le Chevalier Sénateur de Rome comme témoin
Il m'avais lui même demandé de l'aider a la protection des civils dans le lieu saint.

Cette dame m'a très Gravement Bléssé alors que je défendais le Lieu Saint a main NUE.(les évenements précise bien que l'attaque est de elle)

Par ailleurs la veille de son attaque je l'avais rencontré dans une Auberge au Campement Auvergnat ou je venez enquêter en tant que procureur épiscopale sur le comportement de leur soldat.
La Dame Naudeas m'a Avoué ne pas aimé les Diacres et le monde religieux.....et comme par hasard ensuite elle s'en prend a moi, alors que je suis a main nu entrain de faire entrer la population dans le lieu saint.


Horvy se remémora alors plusieurs moment fort qu'il avait vécus depuis la veille

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Un jeune moine assis dans la salle, entendant les dires du procureur éclésiastique, ne put s'empêcher de prendre la parole.

Bonjour frère Horvy, je me présente ; je suis le secrétaire du Cardinal Ivrel, frère Anselme.
Vous m'excuserez de vous couper dans votre élan verbal, mais que diable faisiez -vous en plein milieu d'une bataille, oui je sais vous avez dit défendre la cathédrale, mais pour défendre le lieu saviez-vous que vous pouviez vous réfugier dans l'enceinte fortifiée où vous n'auriez surement pas pris un mauvais coup.
Et puis comment en vouloir à Dame Naudéas au milieu de la bataille de ne pas avoir su distinguer sous l'habit de prévôt et de conseiller ducal du duc Georges le religieux que vous étiez ?
Mais bon, cela ne doit pas être trop grave, vu que vous pouvez encore haranguer icelieu. La prochaine fois mon frère, je vous conseille de rester un peu plus en retrait et de laisser les combattants professionnels s'étriper entre eux. Admettez que vous avez simplement eu malaventure ce jour là et restons-en là.

(mode HRP : utiliser ce type de screen pour faire dire à un perso qu'il vous a visé c'est vraiment mal connaître le jeu - on ne choisit pas des attaques, on attaque juste "les denfenseurs" de la ville - autant la joueuse Michèle - qui joue Ivrel et son secrétaire PNJ Anselme - admet un screen de ce type pour une violation de trève dominicale, autant pour ça, non cela ne tiens pas, excepté si dans un RP sur la gargote berrichonne ou sur la halle de Bourges la joueuse de Naudéas a signifié sa volonté expresse d'attaquer le religieux horvy, et non pas au cours d'une bataille de vous avoir porté un coup parce que vous vous trouviez en 1ère ligne)

Lap entra dans la salle, à force de chercher partout parmi les tentes, on avait fini par lui dire qu'il était en procès. Encore avait-il fallu chercher le lieu, et cela lui prit un sacré bout de temps ne connaissant pas Bourges. Puis ensuite la bonne porte.

Contente d'être arrivée, elle poussa la porte. La salle commençait à se remplir, elle y reconnu Naudeas et Pascale.

Enfin il était là au fond de la salle près de l'archevêque. Elle prit une place sur un banc tout en le regardant. La dernière fois qu'elle l'avait vu, il venait de lui mettre du poil à gratter dans son dos et l'avait étaler avec malice. Ce souvenir la faisait sourire, de le voir enfin et bien vivant était une vrai joie.

Voilà, il la tenait enfin, elle esquissa un sourire. Elle n'avait surement pas frappé assez fort. Quand une intervention, dès plus inattendue la fit se retourner, elle avait déjà entendu parler d'Anselme, y a fort longtemps, mais ne l'avait jamais vu.

En fait, vous voulez un coupable quand à votre inactivité et votre blessure, oui j'ai porté un coup à votre personne mais il faut réfléchir quand on se bat contre une personne armée, faites moi subir tous les châtiments que vous souhaitez, j'en ai cure, mais croyez moi, même si mes intentions ne sont rarement pieuses, je ne l'ai jamais caché, si le moine Anselme peut en témoigner, me prenant souvent de bouche avec Son Eminence Ivrel, j'ai toujours respecté les gens de l'église. Il ne faut pas vouloir jouer double jeu, homme d'église et homme de loi, chose que je n'ai su qu'après. J'ai convaincu mes soldats de vous laisser entrer en cette taverne, n'est il pas ?

Elle le fixa froidement.

Je vous ai laissé vous assoir à notre table sans le moindre reproche, je vous ai dit ce qu'il en était.. Maintenant vous vous servez de ca contre moi, alors je dis que l'EA tombe bien bas en se faisant représenter par des hommes comme vous.

MODE HRP COMPLET
Hé bien quand vous vous serez mis d'accord publiquement sur ce que vous désirez faire........... vous me bipez. En attendant passez-moi l'expression "démerdez-vous"

Parce que moi il y a pas marqué PIGEON sur mon front : faudrait savoir qui dit quoi, je ne suis pas un détecteur de vérité ambulant, alors si vous n'êtes pas capable de vous mettre d'accord et de vous tenir à un accord clair et précis, je comptez pas sur moi pour me prendre des coups à votre place.

Sur ce, Anselme a agit en fonction des informations reçues par sa maitresse, Ivrel. Et ce qu'on ne dit pas à Ivrel, Ivrel ne le devine pas... Horvy était jusqu'à peu prévôt des maréchaux et donc en charge de la défense interne des villes du Berry, il est conseiller ducal et a commencé son mandat sous le règne du Duc Georges.
Quand à la date de changement de poste d'Horvy, Ivrel ne connait pas la chronologie exacte, il est vrai qu'elle a ouvert samedi un message du diacre Horvy l'informant ce de changement de poste, mais elle ne sais pas l'heure exacte du combat entre Horvy et Naudeas : avant ou après ???

Edit : en train de corriger quelques fautes quand Naudeas à posté, je suggère que vous repreniez tout à 0, parce que là ça part complet en vrille.

HRP : ca je peux expliquer que le joueur n'a pas été des honnêtes avec moi en expliquant qu'il était aussi dans un groupe de maréchaussée, hors Naud n'attaquera jamais un homme d'église même au peu d'amour qu'elle a envers cette institution. La, vous avez joué sur deux tableaux et pour une cohérence impossible, elle ne peut porter la main dans quelqu'un qui était dans une ville au vu qu'on commencait juste à la prendre.

J'ai pas réfléchi à ce que je faisais quand j'ai proposé le RP et ca arrangerait de tabasser la tête d'un conseiller du BA. Après elle a le droit de se défendre devant ce procès et j'étais d'accord certes mais en ayant pas une partie de la vérité que vous vous êtes bien caché de donner.

Enfin j'étais d'accord sur le principe de défense de la cathédrale mais de pas dire qu'elle a sauté sur la tête de Horvy parce qu'il est diacre, ca jamais je ne permettrai de dire ça de mon perso

Je ne me fous pas des gens qui jouent mais la c'est du manquement à la cohérence, c'est des coups à dégouter de jouer

Citation :

Moi, Monseigneur Verty de Montfort-Toxandrie, Archevêque de Bourges,

Etant donné qu’une plainte à été portée devant l’officialité de Bourges pour manque de respect envers l’église Aristotélicienne ;

Etant donné que le contexte de guerre jette la suspicion sur l’officialité ;

Etant donné qu’en conséquence, je demande à ce qu’il soit procédé à la nomination d’un inquisiteur afin de décharger l’officialité qui se connait de l’affaire.

Je demande à la congrégation de la sainte inquisition de faire droit à ma requête.

Bourges, le trois novembre de l’année 1457.