LIVRE III DES RELIGIONS DANS LE DUCHE DE BOURBON ET D’AUVERGNE
ARTICLE PREMIER. – Le Duché assure la liberté de conscience. Tous les citoyens du Duché sont libres dans la sphère privée de croire en une religion ou une autre.
ART. 2.- La Duché ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucune religion, ni aucun culte. Le clergé des différentes religions n’auront qu’un rôle consultatif dans les décisions du Duché.
ART. 3.- Le Duché garantit le libre exercice des Religions sous la seule condition que celle-ci reconnaissent la pensée d’Aristote et le Logos. Aucune n’est considéré supérieure à une autre.
ART. 4.- Le terme de religion sera réservé pour dans ce duché exclusivement aux religions conforme à l'Aristotélisme Universel. (Actuellement la Religion Universelle et Romaine)
Mais aussi celles conforme aux cultes des Disciples d'Averroès, (autre interprétation du Logos d’Aristote)
Et celles conforme au Spinozisme, interprétation différente d’un logos basé sur l’essence de toute chose (la religion des amazones).
ART. 5.- Les cultes des religions mineurs et autres sectes pourront aussi être tolérés après verdict du conseil sur le dogme de ce culte ou de cette secte.
(Pour le moment, et en attente de plus ample information, le phookaisme est considéré comme étant une secte toléré dans le duché)
ART. 6.- Les penseurs et autres philosophes athées qui reconnaissent l'Aristotélisme Universel ou le logos comme base de leur Philosophie seront reconnu, et protégé sur le territoire du Duché. Les autres seront tolérés en attendant la décision du conseil sur leur cas.
ART. 7.- Le Duché se réserve le droit de considérer l’idéologie d’une secte ou la pensée d’un philosophe comme néfaste, et de l’interdire dans le duché. Un vote au conseil est cependant nécessaire pour cela, après confrontation des intéressés et concertation avec des penseurs de l'Aristotélisme Universel.
ART. 8.- Les mariages réalisés par un membre du clergé d’une religion reconnue prennent effet civil, mais devront quand même être inscrit sur les registres de l’Etat Civil avec le nom et la religion de l’officiant (archive de Rekkared).
ART. 9.- Conformément au Concordat de Mai 1451 avec la Religion Universelle et Romaine
L’activité politique de cette église est réglementée. Les religieux et les prêtres se voient interdire l’accès au poste de Maire et de Duc. Néanmoins ils peuvent être nommés ou élus à des postes de conseillers. De même, les religieux ne peuvent être les leaders d’une organisation politique. Ils peuvent être adhérant de groupes publics divers, mais ne peuvent en assumer la direction.
ART. 10.- Le Duché de Bourbon-Auvergne, reconnais la capacité de la Sainte Inquisition à traquer les sorciers. Cependant, en ce qui concerne les cas autre que les cas de simple sorcellerie (double compte repéré par l’évêque Zippo),le Duché en la personne du Juge ou du Duc se réservent le droit d’accepter ou de refuser les demandes de mise en procès, afin de vérifier la conformité ou non avec les préceptes d’Aristote et des Philosophies reconnu.
L’Eglise est représentée par sa Sainteté le Pape. La Curie romaine est le parlement de cette Eglise.
Le Diocèse de Bourbon-Auvergne est dirigé par son Evêque, nommé par la Curie dans cette charge.
Le respect de la hiérarchie ecclésiastique devra être respecté pour
toutes les relations entre l’Eglise et le pouvoir temporel.
